L’artisanat occupe une place essentielle dans l’économie française et 94 % d’entre vous ont une bonne opinion des artisans. Présents sur tout le territoire, les artisans constituent une force vive qui dynamise l’emploi autant que la vie locale. À travers les dix épisodes de la série « Sur la route de l’artisanat », nous vous invitons à découvrir qui ils sont et pourquoi vous avez raison de les aimer !   Les artisans ont la préférence des Français. 70 % des Français se sentent proches des artisans et 71 % preferent faire leurs achats chez un artisan plutôt que dans une grande surface*, prouvant ainsi attachement et confiance.   L’artisanat : un acteur économique de poids. Avec 1,3 million d’entreprises recensées et 3,1 millions d’actifs, l’artisanat est l’un des premiers employeurs du secteur concurrentiel français. À elles toutes, ces petites entreprises génèrent 300 milliards d’euros de chiffre d’affaires et font de l’artisanat un acteur majeur du développement économique.   Un rôle clé dans le service de proximité. Présents partout, en centre-ville comme dans le monde rural ou périurbain, les artisans sont proches de vous. Par leur présence et leur activité, ils participent à la dynamique économique locale, à un aménagement équilibré du territoire et au maintien d’un lien social vivant et précieux au sein de la population.   250 métiers à découvrir ou redécouvrir. Boulanger, coiffeur, fleuriste, plombier, mais aussi ambulancier, orfèvre et même prothésiste dentaire ou électrotechnicien. La diversité des métiers de l’artisanat répond à tous les besoins des Français d’aujourd’hui, de l’alimentation au bâtiment en allant de la fabrication jusqu’aux services.   Des emplois d’avenir. En matière de formation, l’artisanat est une des filières les plus efficaces. Par le biais de l’apprentissage ou par la voie professionnelle, pour les jeunes et les moins jeunes, il est possible d’accéder aux métiers traditionnels et aux nouveaux métiers de ce secteur qui crée et créera toujours des emplois.       (*) Source : Enquête d’opinion BVA FNPCA – octobre 2017