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La mesure numéro 5 du Comité interministériel de la sécurité routière (CISR) du 9 janvier entre en vigueur le dimanche 1er juillet 2018. En abaissant la vitesse de 90 à 80 km/h sur les routes secondaires, le Gouvernement entend sauver entre 300 et 400 vies par an et réduire le nombre de personnes blessées, qui était de 73 384 en 2017 (dont 24 732 ont dû être hospitalisées).
C’est mathématique : agir sur la vitesse permet de diminuer le nombre des accidents de la route et leur gravité. Rune Elvik a étudié 500 programmes de diminution de vitesse dans le monde. Le chercheur norvégien confirme l’estimation française de vies épargnées par cette mesure de rupture dans une interview exclusive.
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Afin de montrer qu’une réduction de 10 km/h permet d’éviter ou d’amoindrir le choc en cas d’accident, la Sécurité routière a demandé aux ingénieurs de l’UTAC CERAM (Union technique de l'automobile, du motocycle et du cycle Centre d'Essais et de Recherche Appliqué à la Mobilité) de Linas-Montlhéry, spécialiste d'essais et d’expertises, de réaliser trois démonstrations techniques : comparer les distances d’arrêt d’un véhicule lancé à 90 km/h et à 80 km/h, mesurer la vitesse d’impact après un freinage d’urgence à 90 km/h et à 80 km/h et observer la différence de temps de trajet entre deux véhicules identiques qui parcourent 39 kilomètres l’un à 90 km/h, l’autre à 80 km/h.
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« 13 mètres »
une campagne pour sensibiliser les usagers |
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Alexandra THÉRIZOL
01 86 21 59 83 / 06 75 19 83 90 |
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Thierry MONCHATRE
01 86 21 59 65 / 06 88 16 08 78 |
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